Avec Faro, suite à Polygonale

Pauline Barlier, au nom de Faro, dans un papier qu’elle nous a adressé dans les jours ayant suivi la Polygonale nantaise, poursuit la réflexion sur ce que l’on pourrait entendre par une esthétique résultant de la démarche d’un collectif d’architectes.

En écartant deux idées reçues, celle d’une temporalité achevée à la livraison, celle d’une forme assignée à une clôture étanche, elle dit comment l’équipe cherche à mobiliser l’enjeu de la durée (« l’ancrage ») et celui de flux climatiques et de conditions d’occupation variables (« l’intermédiaire »). A Baulon, sur un projet mobilisant insertion, participation et formation/transmission, cela aura été l’occasion de jouer de la dynamique cyclique d’une matière/matériau (en l’occurrence : la terre), où « l’esthétique est une pratique technique et sociale, un attachement au lieu-école par la dynamique jouer-faire ».

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